Réaction aux négociations conventionnelles en cours

Alors que les représentants professionnels ont pour objectif de revaloriser la profession qui a vu son pouvoir d’achat diminuer et dont la situation des prochains mois est préoccupante, la CPAM en qualité de financeur, poursuit un tout autre objectif : celui d’améliorer la traçabilité des soins pour faire remonter un maximum de données du système de santé. 

Si cette culture de la traçabilité s’est immiscé dans les hôpitaux depuis plusieurs années à renfort de secrétariat spécialisé DIM (Département d’Information Médical), en libéral, la traçabilité des actes est supportée par le praticien. 

En effet, l’Assurance Maladie propose une refonte globale de la grille de cotation. Aujourd’hui comprenant une quarantaine d’items, la CPAM propose d’élargir cette grille de cotation à 80 items en 2023, avec une re-description complète de la NGAP : 

La conclusion que semblent tirer les syndicats actuellement en négociation conventionnelle avec la CPAM, c’est qu’une importante augmentation de la charge administrative est à prévoir pour 2023. 

En libéral, chaque professionnel essaie de trouver une manière de gagner du temps en partant à la “chasse aux voleurs de temps” sur la sphère administrative: système de classement, optimisation du pointage quotidien et du traitement de la facturation … un chamboulement de cette mécanique bien huilée, avec une nouvelle grille de cotation qui changera les habitudes et laissera un doute au praticien, ne peut pas  permettre d’exercer sereinement. 

Un nouveau casse-tête administratif en perspective pour les professionnels de santé… 

L’orsqu’on veut faire efficacement la chasse aux voleurs de temps, il faut évaluer la valeur d’une tâche. 

Dans le cas de la facturation, celle-ci est essentielle, car elle est l’unique source de revenu du praticien et il faut donc que celle-ci soit faite (et bien faite !). La question sera donc de trouver le moyen pour tendre vers une automatisation de la facturation ou de trouver comment la déléguer. 

Plusieurs propositions : 

  • apprendre par coeur la nouvelle nomenclature et vous faire des fiches récapitulatives, après tout quand on a réussi à apprendre par coeur l’anatomie du corps humain, c’est pas 80 cotations et une nouvelle NGAP qui devrait vous faire peur … et puis, peut-être que vous n’aviez rien programmé sur le prochain week-end ?!? …

  • Déléguer la facturation à une secrétaire : il existe des services délocalisés vraiment performant, ça a un certain coût, mais c’est le prix de la tranquillité et ça peut permettre aux plus désorganisés de trouver les moyens de s’organiser : scanner, pointer au fur et à mesure pour simplifier et réduire le temps de travail de votre collaboratrice, 

  • ou alors utiliser un logiciel d’aide à la cotation dernier cri : vous scannez l’ordonnance, l’intelligence artificielle arrive à lire les hiéroglyphes du médecin traitant et vous propose une cotation optimisée (et actualisée en fonction des évolutions conventionnelles) , celle-ci s’enregistre directement dans votre logiciel métier …

c’est votre rêve ? ça tombe bien, c’est le notre aussi ! Concevoir ce type d’outil pour faire gagner du temps sur cette tâche administrative et optimiser les cotations

L’équipe technique planche sur le projet depuis plusieurs mois déjà et nous démarrons une seconde phase de test :

Nous avons besoin de Bêta testeurs,

quelques minutes de votre temps pour continuer à perfectionner l’outil. 


Pour rejoindre ce projet collaboratif, vous pouvez vous inscrire directement sur : https://info.orgavita.fr/outil-daide-a-la-cotation-inscription, plus nous aurons de Bêta Testeurs, plus l’IA sera performante !!

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